Macron, la dictature aux pieds d’argile

La Lettre de La Commune, nouvelle série, supplément au n°52 – Dimanche 24 juin 2018
Macron, la dictature aux pieds d’argile
Contenu

- médias désenchantés-

- Une base sociale rabougrie -

- tics pathétiques -

- Les illusions perdues, au sommet de l’Etat -

- l’autodestruction politique en marche –

- analogies historiques et analogie hystérique -

- Le courage …face au folklore -

- le fond de l’air rougit -

- « Et de droite et …de droite » -

- Jusqu’en 2022 ? Non !

« Le président français Emmanuel Macron a appelé aujourd'hui à ne pas "céder à l'émotion que certains manipulent" sur l'affaire de l'Aquarius »1

Macron se répète car en janvier, il avait martelé le même slogan « Calais : « Il ne faut pas céder à l’émotion » 2

Dans le même registre, le 8 septembre 2017, il éructait. «Réformes : Macron ne veut rien céder "ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes" ». 3

En matière de cynisme, il est pratiquant. En matière d’extrémisme, il progresse vite.

Parfois, il semble sortir d’un roman de Balzac, tant il apparaît comme une ébauche ratée du personnage des « illusions perdues ». Ses illusions, il est en train de les perdre. D’où la bile qu’il déverse sur tout ce qui serait susceptible de résister à son plan de « destruction créatrice ». Oui, Macron est un dictateur aux pieds d’argile, un dictateur de fin de régime, de chute de régime.

Dès à présent, l’illusion de la « reprise », propice aux réformes selon Christine Lagarde, se dissipe à vue d’œil. Et si le pacte ferroviaire « passe » bel et bien, Macron ne peut se vanter d’avoir maté les cheminots de ses propres mains. Il doit sa victoire à Pyrrhus aux palinodies des dirigeants syndicaux qui avaient capitulé avant même de « déclarer la grève ».

- médias désenchantés-

Monsieur Auer qui est « columnist » 4 au Monde (et partisan de faire pièce à la SNCF, au Statut des cheminots et autres « tabous » à briser net) ne peut réprimer son désarroi.

« Si en façade le gouvernement a bien engrangé une victoire politique à court terme, il y a encore beaucoup d’inconnues quant à l’efficacité réelle de la réforme. La première d’entre elles réside dans la capacité des salariés à s’impliquer dans des changements vers lesquels ils vont à reculons . »5

Les médias bien mangeant qui avaient porté le Macron au pinacle il y a un an, sont non seulement dubitatifs quant à sa capacité à habiter la fonction de Chef de l’Etat français mais médusés par l’incongruité des paroles qu’il lâche et des postures qu’il prend, en prenant tantôt cette pose hilare qui confond sourire et rictus, tantôt des accents graves qui confondent solennités de rigueur et crispations capricieuses.

- Une base sociale rabougrie -

Au-delà de cet aspect « décoratif » des choses, l’enquête réalisée au mois de mai par CEVIPOF-Ipsos-Le Monde procure une première sensation de « décrochage » de ce personnage qui n’avait-il est vrai -pas vraiment « accroché » dans la « société civile » dont il se voulait le « référent » et qu’il trouve si vile, à présent.








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Le second tableau que nous prélevons de cette enquête donne une photographie de sa base sociale rabougrie, qu’il puise dans ce que les enquêteurs appellent pudiquement « les catégories aisées ».

Gageons que, depuis les dernières saillies de Macron et de sa garde rapprochée à propos de l’Aquarius, le malaise s’installe jusqu’au sein de ces catégories « aisées ».

- tics pathétiques -

Pourtant, tous connaissaient son esprit provocateur médisant, avant son élection ; sa bave du crapaud :

  • « « Les salariés français sont trop payés ».

  • « Les salariés doivent pouvoir travailler plus, sans être payés plus ».

  • « Les britanniques ont la chance d’avoir eu Margaret Thatcher ».

  • « Je dis aux jeunes : ne cherchez plus un patron cherchez des clients ».

  • « La France est en deuil d’un roi ».

  • « Je suis pour une société sans statuts ».

  • « Je ne suis pas là pour défendre les jobs existants ».

  • « Le chômage de masse en France c’est parce que les travailleurs sont trop protégés ».

  • Il qualifie ceux qui s’opposent à sa loi (308 articles réactionnaires dont le travail le dimanche, de nuit, ou la privatisation du don du sang) de « foyer infectieux » ou de « fainéants ». « Je pense qu’il y a une politique de fainéants et il y a la politique des artisans ».

  • « Je ne vais pas interdire Uber et les VTC, ce serait les renvoyer vendre de la drogue à Stains ».

  • « Je compte sur vous pour engager plus d’apprentis. C’est désormais gratuit quand ils sont mineurs ».

  • « Vu la situation économique, ne plus payer les heures supplémentaires c’est une nécessité ».

  • « 35h pour un jeune, ce n'est pas assez ». 7

Sans doute, nombre de ses émules, par excès ou par défaut, imaginaient que cette sale manie lui passerait lorsqu’il habiterait la fonction.

Hélas, cet entêtement à exprimer son ressenti envers les masses semble avoir pris la force d’un tic, comme si cet aventurier de la politique était atteint d’une forme macronisée du syndrome dit de «Jean de la Tourette » 8.

- Les illusions perdues, au sommet de l’Etat -

Ainsi, Macron prête-t-il aux « Français » la jalousie envers des riches, façon d’exorciser sa singulière convoitise, qui sait ? … Cette sorte convoitise qui trouve un bouillon de culture dans ces milieux de la moyenne bourgeoisie de province et que Macron soigna dans les collèges jésuites et qui trouve son débouché dans l’ambition.

« Ne laissez pas vos idées se rancir en province, communiquez promptement avec les grands hommes qui représenteront le 19 ème siècle. Rapprochez-vous de la cour et du pouvoir. Ni les distinctions, ni les dignités ne viennent trouver le talent qui s’étiolent dans une petite ville »9 lançaient une héroïne de Balzac à son jeune prétendant, de vingt ans plus jeune qu’elle…

…Décrivant ce jeune homme, l’auteur notait :

« Habitué aux prévenances qu’inspire une jolie jeunesse, heureux de cette égoïste protection que le Monde accorde à un être qui lui plait, comme il fait l’aumône au mendiant qui réveille un sentiment et lui donne une émotion, beaucoup de ces grands enfants jouissent de cette faveur au lieu de l’exploiter. Trompés sur le sens et le mobile des relations sociales, ils croient toujours rencontrer de décevants sourires ; mais, ils arrivent nus, chauves, dépouillés, sans valeur, ni fortune, au moment où comme de vieilles coquettes et de vieux haillons, le Monde les laisse à la porte d’un salon ou au coin d’une borne »10.

Macron est l’une des photocopies des jeunes ambitieux et parvenus que croquait Balzac à belle dent.

Macron, quant à lui, n’est pas resté à la porte d’un salon. Il est devenu le maître de céans. Ou plutôt le locataire. Aussi à ses yeux, le chômeur, le conducteur de locomotive, celui ou celle que la société a laissé sur le bas-côté de la chaussée, l’enfant de dix ans qui lui parle comme à un copain sont des intrus ; ces gens qui, non content d’être « rien », revendiquent, par-dessus le marché. Ces ouvriers, employés ne veulent pas se laisser dépouiller de leurs dérisoires « riens », s’indignent et affirment leur dignité, ils ne veulent pas de sa « mobilité » qui détruit les familles, ils ne veulent pas être licenciés. Il les envie, tous ces gens taillés dans la masse populaire ; elles et ils ont ce que Lui n’a pas : de la personnalité face aux conventions « réformatrices » dans lesquelles il est engoncé, l‘esprit récalcitrant face à sa contre-révolution culturelle.

Pour sa part, Macron s’est octroyé, il est vrai, l’auguste privilège de l’ingratitude à l’égard de ceux qui l’ont invité à boire à la coupe du Pouvoir. Il aurait tort de se sentir redevable de Hollande qui voulait l’instrumentaliser pour détruire le PS, en le transfigurant en « parti du Progrès ». 11

- l’autodestruction politique en marche –

A ce jour, le voilà prisonnier de cette incapacité chronique à s’extraire de lui-même, tel le papillon incapable de sortir de sa chrysalide et prendre son envol.

Oui, mais, nous dira-t-on, ce type est Président de la République et, en apparence, il a berné tout le monde, il a conspiré pour ravir la fonction suprême.

A entendre bien des chroniqueuses et des chroniqueurs récitant la même leçon apprise par cœur

A lui seul, Macron aurait été le fossoyeur de tous les partis, le tueur du « bipartisme » larvé qui avait permis à la Ve république de se survivre.

Eh oui, Macron « ose » briser tous les tabous, il « ose » pousser les feux à plein régime de toutes les réformes.

On en oublierait presque que sa « feuille de route » réformatrice lui avait été apportée toute prête par Valls-Hollande, lesquels se sont ébouillantés à inventer l’eau chaude : pure et simple transposition « aux couleurs de la France » des directives « européennes » et règlements conçus par les commissaires de Bruxelles… Le gouvernement a la vanité de croire qu’il gouverne. La « technostructure » de l’Etat s’occupe de tout.

Pour reprendre un mot de Balzac, le gouvernement n’a d’autre pouvoir que celui de la « conspiration permanente contre le peuple ».

En fonction de quoi, le Président « normal » avec son faux air d’affable mollusque n’a pas cédé le passage à un César ou à un « Bonaparte » gaullien à même de susciter l’adhésion d’une partie de la population à son « dessein », une partie de la population où se mêleraient des ressortissants de différentes couches et classes sociales.

Se faisant fort de ne pas céder aux émotions tel un juge « raide comme la justice », il ne peut communiquer aucune émotion, et ne peut donc galvaniser personne. Il finit par glacer sa Cour de stupeur. Commence alors le processus de l’autodestruction politique.

- analogies historiques et analogie hystérique -

De toute part, on se dit : Le Pen et Fillon en avaient rêvé, Macron le fait.

Les « columnist » servent de chambre d’écho aux « thématiques » de ses « communicants » : la dernière en date est la « blitzkrieg » contre les syndicats de cheminots.

« Du modèle allemand, invoqué à tout bout de champs pour justifier la réforme, Emmanuel Macron a notamment retenu la stratégie du blitzkrieg , la guerre éclair, qui consiste à frapper vite et fort pour subjuguer l’ennemi et obtenir sa reddition inconditionnelle. Le passage par la représentation nationale a fait office de panzer et de stuka , capables de tuer dans l’œuf toute adversité syndicale en un temps record . »12

Notons que la blitzkrieg serait un « modèle allemand », de quoi ravir Mélenchon qui avait cru déceler une continuité Bismarck-Hitler- Merkel…

Ces parallèles historiques tournent et virent au crétinisme pur et dur. On passe ici de l’analogie historique à l’analogie hystérique.

A ce train, nous aurions pu comparer la « stratégie » des généraux des syndicats de cheminots avec les généraux de la Drôle de guerre de 1939 : déclaration de guerre préventive puis « guerre assise » laissant le temps à l’ennemi de se mettre au point.

Avec une différence de taille : les généraux de la grève « intermittente » se sont payé le luxe de donner leur plan de marche à l’ennemi, attendant le début avril avant de déclarer « l’état de grève »…et, ce, après avoir capitulé par avance, dans le dos des syndiqués et des cheminots.

Ils appelaient les collègues « à ne rien lâcher » mais avaient déjà dans leur visée conforme, la « convention collective », la fin « du statut, ils voulaient traiter et sauter comme des cabris de tables rondes en tables rondes… le vrai pacte était scellé au-dessus de leur tête, un pacte tacite, certes, mais d’autant plus sûr : le pacte Macron-Martinez, qui relayait le pacte Macron-Mailly .

Macron n’a donc pas eu besoin de Panzer ou de Stukas et il en est frustré. Il n’entrera pas dans l’Histoire comme « la dame de fer » de France. Ceux qui ont fait le parallèle avec le face-à-face de Thatcher contre les mineurs britanniques en 1984 pourront se dire après tout ce cinéma que les remakes sont la plupart du temps des navets.

- Le courage …face au folklore -

Macron a dû braver « courageusement » l’auto-dérision des opposants « de lutte » : fête à Macron, marée populaire avec panier de crabes, agenda d’actions disloquées conçu pour que cheminots et fonctionnaires ne soient pas dans « l’action » au même moment. Tandis que Besancenot mène campagne sur les émoluments des députés, la « professionnalisation » des « politiques, en ultime moralisateur de la vie politique…

- le fond de l’air rougit -

En revanche, lorsque les salariés se regroupent, avec leurs syndicats de base, autour de leurs revendications vitales, comme à Air France, à l’hôpital du Rouvray, aux Catacombes et s’engagent dans des grèves revendicatives (et non suggestives), le Pouvoir se terre dans son trou et évite de sortir les matraques.

Ces grèves, il y en a des centaines de cette sorte, sont les signes avant-coureur de ce qui s’ébauche de façon encore souterraine, sous l’effet combiné de la crise sociale et de la crise politique.

En mars, les retraités étaient descendus par dizaine de milliers dans les rues, les employés de Carrefour se dressaient tous ensemble.

On ne mesure pas encore la colère de dizaines de milliers d’handicapés bafoués par ce gouvernement.

On ne mesure pas encore la colère des lycéens qui se sont senti trahis par le produit « Parcours-sup » et qui voient leurs camarades d’un lycée parisien, salement gardés à vue et poursuivis devant les tribunaux de façon ubuesque… Il n’est jamais bien venu de chercher à intimider, museler, mettre au pas les jeunes. Le tsarisme s’y était cassé les dents, le gaullisme aussi.

Dans ces conditions, qu’au lendemain de la saillie de Macron sur le « pognon dingue » des « aides sociales », survienne l’affaire des 500.000 euros de vaisselle de l’Elysée, après le scandale des comptes de campagne et le scandale qui fond sur le secrétaire général de l’Elysée, voilà qui ne donne pas cher de la peau politique de Macron.

- « Et de droite et …de droite » -

Pour les électeurs qui s’étaient résolus à voter pour lui afin de « faire barrage » à une Mussolinette de carnaval, épouvantail utile dont la baudruche se dégonfle, la vision de la verve excrémentielle de Colomb contre les réfugiés et les immigrés donne au bas mot un haut-le-cœur… Le Pen en avait rêvé. Ceux qui, au premier tour, avaient voté Macron pour éviter que Fillon lui grille la priorité, sont tout autant dégoûtés.

Macron qui jurait alors qu’il ne toucherait jamais au portefeuille des « petits retraités » et vantait « la terre d’accueil » et « la mondialisation heureuse »…

Ainsi tous les jours, les éditorialistes du Parisien s’inquiètent de voir Macron ne recueillir de soutien qu’à droite. Eh, non, il n’était pas « et de gauche et de droite », il était « et de droite et de droite » et d’une droite de plus en plus ouvertement monarchiste, pétainiste new wave. Au point de laisser tomber : « « Versailles, c’est là où la République s’était retranchée quand elle était menacée ».13 Ce, afin de bien signifier sa haine de la Commune de Paris, sa filiation avec ses massacreurs, les sabreurs, les gavés et les curés.

- Jusqu’en 2022 ? Non ! -

Ce type a été élu - par une minorité d’électeurs - à la faveur d’une crise institutionnelle qui lui échappe totalement. Cette crise politique totale le rattrape de plus en plus vite. Macron est le fruit pourri de cette crise, il s’accroche encore à l’arbre mort de la 5ème république désincarnée. Cette crise le pousse à se livrer à un jeu perfide. Ce jeu de massacre est celui d’un monarque impuissant à « rassembler », acculé à miser sur la lutte de chacun contre tous, de tous contre chacun, sur une hypothétique mobilisation des « citoyens » contre les cheminots (et, bientôt, les fonctionnaires) en s’appuyant sur la faune disparate des Start up…

Macron connaît pourtant bien mieux l’Evangile selon St Matthieu que nous tous et cette hyperbole «Qui vit par l’épée périra par l’épée » 14…A ce jeu, il se retrouve déjà seul contre presque tous. Bientôt, les siens lui reprocheront de ne pas être digne de la fonction de Chef d’Etat de cette république qui se meurt.

Même le terrain propice de la politique étrangère est miné, où l’on voit Macron, humilié par Trump qu’il avait goulûment embrassé puis par le chef du gouvernement fascisant italien, avec lequel ses divergences « migratoires » sont de l’épaisseur d’un papier à cigarette.

C’est un dictateur au pied d’argile.

Ce qu’accepte ou tolère encore une partie de la population travailleuse, elle ne l’acceptera plus demain.

Alors, jusqu’en 2022 ? Non, il doit partir ! Le plus tôt sera le mieux.

Il faut l’aider à partir !

Comment ?

Tout d’abord, immédiatement et pratiquement,

  • en cessant de feindre de pouvoir le ramener à la raison démocratique et humaine comme s’y exercent des opposants parlementaires qui se targuent pourtant d’être résolument résolus,

  • en cessant de surestimer la force qu’il n’a pas,

  • en refusant le « dialogue social » avec lui et ses officiers d’Ordonnances ministériels

  • en renouant d’urgence avec le syndicalisme libre de revendication et d’action,

  • en rompant avec le syndicalisme de proposition, de salon, de prostration et de concertation

Les « radicaux » qui prétendent vouloir redonner à la classe ouvrière une « confiance en elle « qu’elle aurait, soit disant, perdue, pourraient être pris au sérieux et écoutés s’ils commençaient par-là, au lieu d’essayer de nous vendre des billets pour des « unions de la gauche », des « fronts populaires ».

Cette classe ouvrière est en train de compter d’abord sur ses propres forces, sur sa ligne propre : la ligne des revendications vitales, générales et particulières, corporatives et interprofessionnelles, sociales et démocratiques.

A suivre




24 juin 2018





1 http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/06/13/97001-20180613FILWWW00280-aquarius-macron-appelle-a-ne-pas-ceder-a-l-emotion.php

2 https://www.la-croix.com/France/Immigration/Emmanuel-Macron-Calais-Il-faut-pas-ceder-lemotion-2018-01-16-1200906374

3 https://www.bfmtv.com/politique/reformes-macron-ne-veut-rien-ceder-ni-aux-faineants-ni-aux-cyniques-ni-aux-extremes-1252033.html

4 Chroniqueur

5 https://www.linkedin.com/pulse/sncf-une-r%C3%A9forme-quelle-st%C3%A9phane-lauer/

6 https://www.enef.fr/donn%C3%A9es-et-r%C3%A9sultats/

7 http://www.lacommune.org/Parti-des-travailleurs/La-commune/Declarations/A-BAS-LA-Ve-REPUBLIQUE-ANTIDEMOCRATIQUE-A-BAS-LES-CANDIDATS-DU-CAPITAL-i1623.html

8 https://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_de_Gilles_de_La_Tourette

9 Honoré de Balzac- Les illusions perdues. Folio éditeur – page 151

10 Honoré de Balzac- Les illusions perdues. Folio éditeur – page 143

11 . Voir : « un président ne devrait pas dire ça… » Gérard Davet et Fabrice Lhomme. Stock éditeur, 2016. Page 625.

12 https://www.linkedin.com/pulse/sncf-une-r%C3%A9forme-quelle-st%C3%A9phane-lauer/

13 http://www.lacommune.org/Parti-des-travailleurs/Lettre-d-infos/Dehors-Macron-le-versaillais-i1772.html

14 Evangile selon St Matthieu, verset 26.52

Modifié le dimanche 24 juin 2018
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