Un vent de révolution se lève

La Lettre de La Commune, nouvelle série, n° 74 – jeudi 22 novembre 2018

« Bien plus qu’une fronde » éditorialise Le Parisien, ce 19 novembre 2018. La veille, dans la circonscription d’Evry (Essonne), 80% des électeurs ont fait la grève du vote. Cette nouvelle passe inaperçue dans le climat d’effervescence qui fond sur le pays, depuis les campagnes.
Journalistes aux ordres, bureaucrates, officiels, politiciens sont désemparés.
Au mieux, certains rient jaunes. Le mouvement qui s’est amorcé vient de loin, il a mûri de façon souterraine. Comme nous l’avons souvent dit ces derniers mois, les masses ont commencé à apprendre à compter d’abord sur leurs propres forces. Elles ont appris qu’on ne peut pas « déborder » les dispositifs préétablis par des « stratèges syndicaux » qui cherchent surtout à parlementer et traiter avec le pouvoir.

Les masses ? Quelles masses ?

Les salariés et la population qui souffre, les petites gens des villes et des campagnes. L’exigence de l’annulation de la hausse des carburants n’est en rien un « prétexte », c’est « la goutte d’eau qui fait déborder la citerne », c’est le levier du rassemblement au grand jour des exploités et des opprimés de ce pays pour ne plus vivre ainsi, pour dégager Macron et ses réformes.

Comme nous l’avons souvent rappelé ces derniers mois : le mélange hybride Crise sociale – Crise politique est de plus en plus explosif. Ces tout derniers jours viennent de nous en donner l’application de cette loi physique de la politique.

Un vent de révolution se lève
(photo : www.larep.fr)
Contenu

Face à Macron et aux calomnies de Martinez :

Nous soutenons INCONDITIONNELLEMENT les « gilets jaunes »

L’implosion - (rétrospective partielle)

9 juillet :

11 juillet :

17 juillet :

LA COUPE

20 juillet :

Début de l’affaire BENALLA

25 juillet

1er août

14 août

8 septembre

17 septembre 2018

« On peut s’arrêter quand on monte, jamais quand on descend »

10 octobre 2018

Vers la révolution

Annexe : Trotsky parle de la révolution…

Le plan de Macron, c’est : remplacer les cotisations sociales par les taxes à la consommation !

La leçon que donnent les masses à tous les appareils est cuisante pour la clique de Martinez qui s’est dressé dès la fin octobre contre le mouvement qui se dessinait. C’est un sérieux avertissement pour Martinez et sa clique qui ne cesse de clamer « Propositions ! Propositions ! ».

Les salariés, retraités, jeunes, artisans engagés dans la bataille présente répondent « Revendications ! Revendications ».  Pour elles, pour eux, il n’y a rien à négocier, rien à accompagner : annulation de la hausse du carburant. Telle est la revendication immédiate, face au Plan de Macron pour remplacer les cotisations sociales par les taxes et ainsi anéantir la SECURITE SOCIALE.

Face à Macron et aux calomnies de Martinez :  Nous soutenons INCONDITIONNELLEMENT les « gilets jaunes »

Après avoir renoncé à la défense de la Sécurité sociale financée par les cotisations, il ne reste alors à ces bureaucrates qu’à tenter de salir la mobilisation au moyen de la calomnie, comme nous l’avons tous constaté. Cela transpire la peur des masses, la crainte que la routine bureaucratique laborieuse et procédurière soit pulvérisée.

Disons aussi que nous n’avons que mépris à l’égard de ces soi-disant « trotskystes » 1 qui mènent campagne, eux aussi, contre la mobilisation en lui prêtant des « porte-parole » d’extrême-droite qu’elle n’a pas, des mots d’ordres qu’elle n’a pas. Agir de la sorte, c’est se placer du côté du manche et non de la barricade. Nous n’avons donc rien à ajouter à leur sujet. Il va sans dire que leur attitude est totalement étrangère à la façon dont Trotsky et Rosa Luxemburg (entre autres) appréhendaient les mouvements inorganisés, spontanés. Ces faussaires le savent fort bien, d’ailleurs.

Comme toujours, depuis près de 35 ans, nous nous entendons dire que nous subissons la montée du fascisme, par FN interposé (maintenant RN). Montée si forte qu’elle rendrait cette extrême-droite capable de créer des mouvements de protestation générale, quitte à porter un faux-nez démagogue, à tout infiltrer. Nous n’entrerons pas aujourd’hui dans ce débat quasi perpétuel…

Le mieux, ce nous semble est d’abord, de jeter un coup d’œil dans le rétroviseur et récapituler les événements qui se sont enchevêtrés depuis le mois de juillet, quand Macron venait de « gagner » contre les cheminots, la France remportait la Coupe du Monde de football. La crise politique qui s’était déchaînée en 2016-2017 avait été surmontée par le nouveau monde de Macron en marche. Les ordonnances « travail » entraient en vigueur.

L’implosion - (rétrospective partielle)

En juillet de cette année, la force apparente du pouvoir a laissé place au retour de flamme de la crise politique. Crise du pouvoir, crise des appareils syndicaux, crise des formations politiques n’épargnant pas les mélenchonistes, d’une part, colère et révolte, d’autre part, encore rampante, il est vrai.

9 juillet :

Nantes brûle-t-il ?

« Ce qui vient de se passer à Nantes est une première explosion, une explosion « aveugle », où des jeunes commencent par tout détruire et brûler autour d’eux. Ce n’est pas « l’explosion », telle que nous la voudrions mais telle qu’elle se présente, à l’état brut, dans la situation telle que nous la connaissons…Quoi que l’on puisse penser du caractère de cette explosion, elle résonne comme un avertissement au Pouvoir et aux organisateurs « syndicaux » de la paix sociale indispensable à l’application et la poursuite de ces réformes qui mettent en cause le principe même de Civilisation. » 2

11 juillet :

« Macron et sa camarilla sont en chute libre. Pour l’instant, la chute est amortie par les hautes directions confédérales de nos syndicats qui imposent le syndicalisme dit de « proposition » et de pourparlers permanents avec le pouvoir. L’opposition « antilibérale » et « gauche radicale » est clouée au sol, quand elle ne se donne pas en spectacle folklorique et autres initiatives de diversion. » 3

17 juillet :

LA COUPE

« Comme il y a vingt ans, la Coupe du monde arrachée par les Bleus a donné lieu à un déferlement dans tout le pays et à Paris, à une marée humaine. Les avis sont partagés. Hystérie collective ? Liesse d’une « France » moutonnière ? Exutoire ? Le phénomène est plus contradictoire qu’il n’en a l’air. Les Bleus sont considérés comme des héros, pour leur combativité, leur tension vers un seul but : la victoire. Ils sont aussi l’antithèse de ces leaders « opposants » ou « syndicalistes » qui ne cherchent pas à vaincre Macron, qui parlementent ou conversent avec lui. Les jeunes, les salariés qui sont sur les boulevards, en une masse compacte, se rendent comptent qu’ils sont une force, la force de la masse qui se sent unie. Ils n’ont pas un mot pour le chef de l’Etat. Ils sont tout à la fois joyeux et en colère. En première ligne, celles et ceux que l’on appelle « la jeunesse des banlieues ».(…) Alain Minc(…) :

« En tout état de cause, on ne peut pas continuer comme cela, l’inégalité est trop forte. On risque l’insurrection » 4

20 juillet :

Début de l’affaire BENALLA

« Macron dans la tourmente , titrent les médias. Les parlementaires de tous bords ou presque montent au créneau, en plein débat sur la révision de la Constitution de cette République en perdition. Mais, le pouvoir s’en tient à une enquête préliminaire. Les manifestants interpellés puis jugés en comparution immédiate ou licenciés savent qu’il y a « deux poids, deux mesures ».
Deux semaines après la flambée de colère à Nantes à la suite d’un homicide policier contre un jeune homme inoffensif, l’affaire Benalla, du nom de ce « Bodyguard » de Macron qui a frappé un manifestant pacifique, grille la bande à Macron. L’Elysée est au bord de la crise de nerf. (…) Comme toujours, le hasard révèle la nécessité. L’accidentel jette une lumière crue sur l’état réel de l’Exécutif, de l’institution-clé du Régime : l’Elysée. Une institution qui agit par-dessus la tête du gouvernement, comme une sorte de réseau parallèle. De quelle nécessité s’agit-il ? De l’urgence de se débarrasser de ce despote au petit bras, de ce faux colosse aux vrais pieds d’argile. Lui et sa suite. (…) La révolte, la colère, le refus gagne toute la population travailleuse et pauvre, toute la jeunesse et au-delà, de toute façon. Tout commence à basculer » 5

25 juillet

« Les événements de Nantes ont donné un premier avertissement aux uns et aux autres, Macron, d’une part, les leaders syndicaux nationaux, d’autre part : les jeunes et les salariés n’attendront plus très longtemps les initiatives « confédérales » ou « fédérales », la colère, la révolte, l’indignation accumulées seront plus fortes que les verrous, les blocages, les fausses actions, les simulations de marées des appareils syndicaux et de l’opposition « protestataire ».

Un quart d’heure avant que ne surgisse l’affaire Benalla, on ne savait pas que cette crise allait surgir. Eh bien, comme l’avait noté Rosa Luxemburg : un quart d’heure avant la révolution, nul ne sait qu’elle va commencer. Jusqu’à ce que survienne un mouvement spontané, on ne croit pas possible un mouvement spontané. » 6

1er août

« Nous savons maintenant que Benalla n’a jamais été sanctionné, qu’il dispose, au besoin, d’une tribune sur TFI, Le Monde, le JDD pour enfumer éhontément son monde et encenser Macron. Nous avons pu enregistrer tout autant le mutisme de Pavageau, Martinez alors qu’il s’agit tout de même au départ des suites des manifestations du Premier mai, journée internationale et syndicale des travailleurs depuis 1886, appelées entre autre par la CGT, qu’il s’agit d’atteintes graves au droit de manifester.

Plus ils se couchent devant Macron, plus ils s’isolent.

Plus ils s’isolent, plus les travailleurs, les jeunes, la population apprennent à compter d’abord sur ses propres forces.

La révolte et la colère contre les réformes et les conditions actuelles de vie va surgir au grand jour. Il n’y aura d’inattendu que le moment. Nous nous y préparons, des militants syndicalistes, de plus en plus nombreux se préparent aussi à se mettre au service de leur classe, à s’affranchir des discours martinéziens et mélenchoneux… » 7

14 août

… La recette de la révolution est pourtant simple : Crise de la domination politique du Capital (crise du sommet de l’Etat et de l’Etat lui-même) et Crise sociale, les masses n’ayant plus la force de la supporter et ne voulant pas continuer à mener cette vie-là. (…)a révolution ne présente pas de préavis, la météo politique de la veille ne l’annonce pas. Ce sont les femmes et les hommes qui, après des changements d’humeur incessants, ne savent plus supporter, ni leur sort, ni le Pouvoir et commencent à prendre leurs affaires en main, en comptant d’abord sur la force du nombre. Les révolutions et grands mouvements sociaux ont toujours commencé ainsi. Sans calendrier, ni agenda, spontanément.

Pour l’heure, nous ne dirons pas que la révolution est « inévitable » ou même « imminente ». Nous disons que les événements politiques, sociaux, économiques et quotidiens d’aujourd’hui nous entraînent vers le point de rupture et, ainsi même, vers la révolution.

Contrairement aux « respectables » opposants au gouvernement et aux « experts sociaux » - hauts directeurs de nos syndicats, de plus en plus de jeunes, de salariés, de retraités, d’agriculteurs démunis ne supportent plus Macron. Des millions de femmes et d’hommes ne veulent pas se faire à l’idée qu’il puisse rester en place plus longtemps. Beaucoup de gens comprennent que seul le nombre, seule la masse feront la force qui en viendra à bout de Macron, de tout ce qu’il incarne et représente. 8

8 septembre

… Où le pouvoir est pris dans la toile serrée des affaires en cascades.

Où, hagard, le ministre fétiche de l’Interieur est tenté de se poignarder avec des saucisses pour n’avoir su insuffler à Macron la sagesse « grecque » à base d’humilité et de miel des Vosges. Il n’est plus qu’un fétiche à l’oreille cassée, au teint cireux, l’œil éteint. Et…
Hulot ? Mort aux pluches !
Nyssen ? Grillée !
Ministre des Sports ? Prise en flag’ et acculée à la démission
Cohn Bendit ? Prié d’occuper le poste vacant de ministre de l’Ecologie, n’était pas du genre à embarquer sur le Titanic
La désignation du successeur de Rugy au « perchoir » de l’Assemblée » ? L’enfant se présente mal, pour l’instant-
Indice de popularité ? Macron se retrouve en dessous la cote de Hollande, au même moment de son mandat (2013)
Réforme constitutionnelle ? Reportée à l’hiver prochain, mais d’ici là …

Et maintenant ?
La fuite en avant destructrice. 9

17 septembre 2018

« On peut s’arrêter quand on monte, jamais quand on descend » - (Napoléon Bonaparte)

Un bras de fer est engagé entre le Sénat et l’Elysée. Nous n’en sommes pas les arbitres. La droite bonapartiste-gaulliste LR, dans cette joute, ne fait qu’exprimer le point de vue de cercles de l’Oligarchie capitaliste financière qui sont catastrophés par « l’art et la manière de servir » de l’Elysée, par son absence d’appui au sein de la population. La voilà accusée de vouloir, du haut de son bastion sénatorial, destituer Macron, pas moins. Et, à tout le moins, la question se pose.

Les arguties juridiques des uns et des autres suintent la sueur de la mauvaise foi et de la peur du vide.

Macron est en chute libre, mais pour reprendre un mot de Lénine, il ne « tombera pas si on ne le fait choir », par tous les moyens nécessaires, en toute occasion favorable…

10 octobre 2018

« L’affaire Benalla, nous avait-on assuré, n’était qu’une tempête dans un verre d’eau, un fait divers d’été. Et pourtant, nous assistons en ce moment à la réplique de ce premier tsunami politique. Le poisson pourrit par le « Colomb », pourrait-on dire. Ce gredin a vieilli plus vite que son ombre, semble-t-il. Il a « imposé » sa démission au Tyranneau qui sombre plus encore dans le ridicule ou, comme le titre Le Parisien, dans le psychodrame.

Un peu de crise politique nous éloigne de la crise sociale, beaucoup de crise politique nous en rapproche .

Tous en sont frappés, comme de la peste. Les Oppositions en sont atteintes de plein fouet. Tétanisées et au bord de la dislocation. Mais, au fait, au-delà des petites et grandes phrases, à quoi s’opposent-elles donc ? Nous sommes entrés dans une situation insolite et « volatile », insaisissable, même…Il n’y a, pour ainsi dire, plus de gouvernement en France. » 10

Vers la révolution

Le remaniement ministériel dû à une crise ouverte au sein du gouvernement fantoche de Macron qui a séché Hulot, Colomb, Nyssen et autres cache mal le bras de fer qui se noue entre Macron et « son » Premier ministre.

A l’heure où nous écrivons ces lignes, nous apprenons que LREM est visé à son tour par une enquête préliminaire du parquet financier pour la bagatelle de 140 000 euros…

Au même moment, Carlos Ghosn le richissime PDG de Renault-Nissan a été arrêté comme un simple voleur de grand chemin par les autorités japonaises.

De même, au moment où le pouvoir s’accroche à sa taxe carburant au nom du développement durable, nous avons confirmation que le budget dédié à l’écologie est revu à la baisse. 11

La répression qui frappe les « gilets jaunes » en ce moment-même porte en elle un aveu de faiblesse terrible pour Macron. Cette répression radicalise l’immense majorité de la population, bien au-delà des détachements de salariés, de jeunes, de retraités qui se sont portés sur les points de blocage et dans la rue.

Macron et ses pairs réussissent le tour de force de convaincre des millions et des millions d’habitantes et d’habitants qu’ils n’ont PLUS RIEN A PERDRE et donc « TOUT A GAGNER »

En persistant à salir le mouvement des gilets jaunes, Martinez et ses pairs ont à leur façon donné le FEU VERT à la répression policière que le pouvoir déchaîne en ce moment, sans compter les peines de prison ferme en comparution immédiate pour « avoir occupé un terre-plein !

Le mouvement des gilets jaunes est, pour l’instant, la forme originale que prend Le mouvement vers la grève générale dans ce pays.

En ce qui nous concerne, nous n’avons pas à leur dire ce qu’ils devraient faire à présent ou ne pas faire et jusqu’où ils doivent aller. Pas question pour nous de spéculer sur la suite et de nous adonner à de savants calculs de probabilité… Pour l’instant, c’est un mouvement qui tend vers la révolution.

Ce qui arrive maintenant fait à nouveau surgir le besoin d’un Parti de femmes et d’hommes libres, vivant, jeune et unitaire, anticapitaliste et internationaliste. C’est à cette tâche que nous entendons contribuer, encore et toujours. Pour le RASSEMBLEMENT AU GRAND JOUR DE TOUS LES EXPLOITÉS ET OPPRIMÉS, pour « VAINCRE ET VIVRE ».




Jeudi 22 novembre 2018




Annexe : Trotsky parle de la révolution…

« Les masses se mettent en révolution non point avec un plan tout fait de transformation sociale, mais dans l'âpre sentiment de ne pouvoir tolérer plus longtemps l'ancien régime. C'est seulement le milieu dirigeant de leur classe qui possède un programme politique, lequel a pourtant besoin d'être vérifié par les événements et approuvé par les masses.

Le processus politique essentiel d'une révolution est précisément en ceci que la classe prend conscience des problèmes posés par la crise sociale, et que les masses s'orientent activement d'après la méthode des approximations successives. »

Léon Trotsky - Histoire de la Révolution russe











1 POID – Tribune des travailleurs

2 http://www.lacommune.org/Parti-des-travailleurs/La-commune/Declarations/Nantes-brule-t-il-i1784.html

3 http://www.lacommune.org/Parti-des-travailleurs/Lettre-d-infos/En-avant-pour-une-politique-ouvriere-anticapitaliste-i1785.html

4 [3]

5 http://www.lacommune.org/Parti-des-travailleurs/Lettre-d-infos/L-ELYSEE-SES-AFFAIRES-SES-REFORMES-ET-SON-NERVI-DEHORS-i1787.html

6 http://www.lacommune.org/Parti-des-travailleurs/Lettre-d-infos/La-debandade-i1789.html

7 http://www.lacommune.org/Parti-des-travailleurs/Lettre-d-infos/Il-y-a-quelque-chose-de-pourri-au-royaume-de-la-Ve-Republique-i1791.html

8 http://www.lacommune.org/Parti-des-travailleurs/Lettre-d-infos/Mefaits-divers-et-autres-moeurs-d-un-pouvoir-isole-i1794.html

9 http://www.lacommune.org/Parti-des-travailleurs/Lettre-d-infos/Crises-et-chatiments-LA-FUITE-EN-AVANT-DU-POUVOIR-VERS-L-ABIME-i1799.html

10 http://www.lacommune.org/Parti-des-travailleurs/Lettre-d-infos/La-debandade-saison-2-i1806.html

11 https://www.publicsenat.fr/article/politique/taxe-sur-les-carburants...

Modifié le jeudi 22 novembre 2018
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